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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 10:43

Selon les résultats de l’Enquête nationale de santé et nutrition 2006, rendus publics hier, plus de 70% des Mexicains seraient aujourd’hui en situation de surpoids ou d’obésité. Un problème qui concerne l’ensemble du pays, mais plus particulièrement le D.F., l’Etat de Mexico, le Sonora et le Quintana Roo, où le surpoids concernerait jusqu’à 80% des habitants !

"L’augmentation de l’obésité au Mexique ces sept dernières années est alarmante, parce qu’elle concerne tout le pays et toutes les classes d’âge", a ainsi fait savoir l’Institut national de santé publique, en charge de l’enquête, réalisée auprès de quelque 50.000 foyers mexicains. En 1999, l’obésité touchait en effet 24% de plus de 20 ans ; elle en concerne désormais 30%. Quant aux enfants de 5 à 11 ans, ils étaient 18,6 % à souffrir de l’obésité voilà sept ans ; ils sont aujourd’hui 26%. "Le surpoids et l’obésité augmentent de 2,2% chaque année", estime l’Institut national de santé publique, assurant que cela ne s’était "jamais vu". Le Mexique est l’un des premiers pays au monde à souffrir de l’obésité, avec les Etats-Unis. (www.lepetitjournal.com – 28 septembre 2006)

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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 10:33

A l’occasion de la Journée mondiale du Tourisme, le gouvernement mexicain a organisé hier un grand raout dans la station balnéaire de Cancun, dans l’Etat de Quintana Roo. Réunis dans le lieu de villégiature le plus emblématique du pays, de nombreux professionnels du secteur ont eu droit à une série d’activités dans le cadre très léché du centre de conventions “Cancún Center”, ainsi qu’à des interventions destinées à faire le point sur la santé économique du tourisme mexicain. Une belle passe d’armes a ainsi eu lieu entre Luis Antonio Mahbud, président de la Confédération des Chambres nationales de Commerce, de Services et du Tourisme, et Rodolfo Elizondo, le ministre fédéral du Tourisme. Le premier, dans son discours, a estimé que le Mexique n’était pas perçu de manière positive à l’étranger, notamment en raison de l’insécurité, phénomène qui rebuterait, d’après lui, de nombreux touristes internationaux. Il a sommé le gouvernement fédéral de régler le problème. A cela, le ministre a rétorqué que le secteur se portait parfaitement bien et que le pays "a su gagner la confiance des investisseurs locaux et étrangers" ; les investissements internationaux – à 56,6% américains – dans l’industrie du tourisme au Mexique s’élèveraient à près de 2,55 milliards de dollars sur la période 2000-2006, soit 38,3% de plus que pendant le sexennat précédent. (www.lepetitjournal.com – 28 septembre 2006)

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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 10:30

La Cour suprême de justice du Mexique a pris une décision historique en faveur des femmes, le 16 novembre, en reconnaissant le viol de l'un des conjoints comme un délit passible de huit à quatorze ans de prison. Jusqu'alors, une relation sexuelle forcée dans le cadre du mariage était seulement l'"exercice indu d'un droit".

"Une telle thèse impliquait l'idée discriminatoire et humiliante que nous pouvons abuser de ce qui nous appartient", a commenté Sergio Valls, l'un des membres de la cour. "Nous nous rallions à une conception moderne du mariage, qui est une relation d'égalité dans laquelle la femme ne perd pas sa liberté sexuelle par le fait de se marier", a souligné un autre juge, José de Jesus Gudiño.

En 1994, la Cour avait statué en sens inverse : "Le fait qu'un des époux impose à l'autre la copulation de manière violente, tant qu'ils doivent cohabiter, ne suffit pas pour établir le délit de viol." Souvent, policiers et magistrats refusent d'enregistrer la plainte ou se montrent pleins de mansuétude pour les maris violeurs. Un juge a débouté une plaignante en affirmant qu'elle était "coupable d'être aussi belle". En octobre 2005, dans l'Etat de Mexico, un mari qui avait frappé son épouse de 17 coups de couteaux a allégué qu'elle l'avait poussé à bout en "refusant d'accomplir son devoir sexuel". Le tribunal a accepté l'argument en se fondant sur la jurisprudence de 1994.

Le chemin sera long pour changer les mentalités. Le sociologue Jorge Zepeda donne des chiffres édifiants : 84 % des Mexicaines considèrent que la violence conjugale est une affaire qui ne regarde que le couple, un meurtre sur dix dans le pays est commis par un mari sur son épouse, 25 % des femmes qui se suicident le font pour échapper aux brutalités de leur conjoint.

Signe que les temps changent, l'Institut national des femmes vient de lancer une vaste campagne médiatique pour dénoncer la violence conjugale. Six actrices et journalistes connues ont prêté leurs visages et leurs voix afin d'attirer l'attention du public sur un phénomène qui affecte, selon l'enquête la plus récente, une Mexicaine sur deux.

Joëlle Stolz (Mexico, correspondance)
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28 septembre 2006 4 28 /09 /septembre /2006 10:29

MEXICO 27/09 (BELGA/AG) = Environ 1.600 femmes sont assassinées chaque année au Mexique, la plupart dans le cadre de conflits conjugaux, selon le Parquet général de la république. Au Guatemala, pays voisin, la situation est encore pire si on compare les chiffres de femmes tuées - 500 par an - à la population totale (11 millions au Guatemala, contre 103 millions au Mexique).

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:35

El Mariachi est le premier film mettant en vedette le personnage d'El Mariachi, un joueur de guitare à la gâchette facile assoiffé de vengeance, ici incarné par Carlos Gallardo. Le réalisateur Robert Rodriguez retrouvera ce héros atypique à deux reprises, pour Desperado (1995) et Il était une fois au Mexique Desperado 2 (2003), Antonio Banderas reprenant le personnage à l'occasion de ces deux films.

D'un budget très modeste de 7000 dollars seulement, le projet El Mariachi a été très difficile à monter. Robert Rodriguez, démontrant déjà le côté touche-à-tout et débrouillard qui sera sa marque de fabrique tout au long de sa carrière, a accumulé 3000 dollars en se proposant comme "cobaye de laboratoire". Il aurait ainsi écrit la majeure partie du script d'El Mariachi entre les murs d'un laboratoire pharmaceutique. Le budget a ensuite été utilisé en grande partie pour l'achat d'une caméra de haute qualité, le reste servant à la post-production et à la promotion du film

La plupart des pistolets utilisés dans El Mariachi sont, par mesure d'économie lors du tournage, des pistolets à eau

El Mariachi a obtenu en 1993 les Prix du Public du Festival du Cinéma Américain de Deauville et du Festival de Sundance

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:34

Le jeune prêtre Amaro arrive dans la petite ville de Los Reyes afin d'y seconder le frère Benito, qui cache divers trafics ainsi qu'une liaison avec la restauratrice Sanjuanera Ne demeurant pas en reste, Amaro s'éprend d'Amelia, la fille adolescente de Sanjuanera.

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:30

Dans les années 1920 la violence de la Révolution mexicaine s’était généralement apaisée, mais des bandits en groupes dispersés continuaient à terroriser le pays. Pour les éliminer, le nouveau gouvernement post-révolutionnaire envoyait patrouiller dans les zones reculées une police fédérale efficace mais brutale connue sous le nom de Federales. Les étrangers américains, tels que les "prospecteurs" dans cette histoire, couraient un réel danger d’être assassinés par les bandits s’ils croisaient leur chemin. De même les bandits n’avaient guère droit qu’à une "dernière cigarette"s’ils venaient à être capturés par les unités de l’Armée, et devaient même creuser leur propre tombe avant d’être exécutés.
C’est dans ce contexte que les trois “gringos” s’en vont chercher fortune. De façon surprenante, le vieux prospecteur s’avère extrêmement endurant, et surtout il sait comment trouver de l’or dans la très inaccessible Sierra Madre. Les trois compagnons finissent par découvrir un petit filon et c’est alors que la discorde s’installe entre eux. Avant même de reprendre le chemin du retour à la civilisation, la « fièvre de l’or » s’empare de Dobbs auquel a échu le tiers d’une petite fortune. Sa crainte paranoïaque d’être roulé lui fait perdre d’abord sa confiance en ses deux compagnons puis sa raison lorsqu’il tente de s’emparer de la totalité du trésor, dont ils se fait déposséder à son tour par les bandits auxquels le trio avait réussi à échapper précédemment . Les scènes finales qui montrent ce qui advient des trois compagnons, des bandits et de l’or sont d’une ironie inoubliable.

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:23

Le film Los Olvidados (en français : Pitié pour eux, ou Les Réprouvés), tourné en 1950 par le réalisateur hispano-mexicain Luis Buñuel, est le plus important document qui existe en espagnol sur la marginalité des enfants dans les grandes villes contemporaines. Il est aussi un regard cru et réaliste, jeté sans concessions sur une partie de la société mexicaine, dans un bidonville de Mexico où les personnages, observés soigneusement et fidèlement, suivent la destinée inéluctable que leur assigne la situation sociale et économique.

Avec Los Olvidados, Buñuel offre au cinéma mondial une œuvre accomplie dans laquelle, sans abandonner l'esthétique surréaliste de ses premiers films, tels que Le Chien andalou (1928) et L'Âge d'or (1930), il brosse un portrait passionné des oubliés, d'un trait brutal, mais honnête, à la fois tragique et poétique. C'est, en un mot, un film qui sera toujours contemporain.

Dès le début, Los Olvidados a rencontré de nombreuses difficultés. L’écriture de son scénario a demandé à Buñuel deux ans de recherches préalables. Il lui a ensuite fallu convaincre le producteur Oscar Dancigers de le laisser libre stylistiquement et idéologiquement. Enfin, certains de ses collaborateurs, effrayés par les répercussions de ce film, ont demandé que leurs noms soient retirés du générique.

Dancigers était conscient des problèmes que pouvaient causer au film la censure et les groupes conservateurs de la société mexicaine, et du risque qu’il ne soit même jamais projeté. Il fit donc tourner, presque en secret, une « autre fin », à l'opposé de la signification tragique du film. Finalement, grâce au soutien des intellectuels mexicains et au prix reçu au Festival de Cannes, le film connut le succès dans sa version originale, et ce n'est que cinquante ans plus tard que l'« autre fin » fut découverte.

Le négatif original en nitrate de cellulose de Los Olvidados, perdu pendant vingt ans, a heureusement été retrouvé, et est maintenant à l'abri dans les coffres de la Filmoteca de l'UNAM, où il a été placé en dépôt par son propriétaire actuel,Televisa S.A., la société qui en a acquis la totalité des droits patrimoniaux et des droits voisins, y compris le négatif original qui fait l'objet de la présente proposition d’inscription au programme Mémoire du monde.

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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:19
Spolié par les riches propriétaires terriens, un groupe de péons part protester auprès du président Porfirio Diaz. Ce dictateur n'a que faire du bon droit des petits paysans. L'un d'eux, Emiliano Zapata, décide alors de prendre le maquis.
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27 septembre 2006 3 27 /09 /septembre /2006 15:18

Julio et Tenoch sont deux adolescents de 17 ans, plutôt commandés par leurs hormones, liés par une grande amitié, mais très pressés de passer à l'âge adulte.
Un après-midi, pendant une fête de famille, ils vont faire la connaissance de Luisa, une Espagnole de 28 ans avec qui ils vont commencer à flirter.

Sur le ton de la plaisanterie, ils vont lui proposer de les accompagner en voiture jusqu'à la plage Boca del Cielo. Mais ils ne lui donnent aucune précision sur l'endroit où se trouve cette plage et Luisa ne sait même pas si elle existe réellement.
Luisa ne leur prête pas plus d'attention et fait mine de les ignorer.

Peu de temps après, Luisa reçoit des nouvelles catastrophiques. Elle se trouve devant la nécessité de changer de vie et va retrouver les deux garçons.

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