Danse du Michoacan
Vidéo envoyée par viva-mexico
BIENVENUS SUR:
VIVA MEXICO!!!
cabrones, hijos de la chiganda...
que les vaya bien pues...
Hier un euro valait |
14,15 pesos (-) |
Météo |
(8º/22º) |
Nombre de visiteurs:
45601
Nombre de pages vues:
127115
note mon blog sur booster blog
Terre de Tepoztécal, guerrier vainqueur du redoutable serpent Mazacuatl de Xochicalco, seigneur de Tepoztlán et prêtre de l'idole Ometochtli ; terre dont le passé se mêle à l'épaisseur de la magique brume qui enveloppa ce héros mythologique ; lieu de traditions, de légendes et d'apparitions qui, entourée par une impressionnante chaîne de formations rocheuses s'apparente à une forteresse imprenable.
Tepoztlán signifie en langue nahuatl "lieu de la hache de cuivre" ou "lieu des portes brisées".
Durant l'époque de la domination Aztèque, Tepoztlán figurait comme l'un des villages circonvoisins à rendre culte à ce peuple guerrier et bien que l'on compte cette référence historique l'origine de cette ville est autant incertaine que mystérieuse.
Puerto Escondito est une ville portuaire de l'état mexicain d'Oaxaca. Fondée en 1928 pour le commerce du café, elle est devenue un attrait pour le tourisme et le surf. Son nom signifie Port caché en espagnol.
Les 450 000 hectares des forêts de la Sierra Norte font partie des écosystèmes normalement protégés, y compris dans le cadre du nouveau corridor biologique mésoaméricain. Mais le trafic de bois sévit dans tout l'Etat de Oaxaca et les villages de la Sierra Norte défendent activement leur patrimoine, entre autre grâce à la vigilance des guides accompagnant les touristes. " La Sierra Norte présente sept des neuf écosystèmes de végétation terrestre qui existent au Mexique en quelques kilomètres carrés ".
Les Pueblos Mancomunados sont huit villages reliés par 120 km de chemins à travers la Sierra Norte de Oaxaca. Le projet génère en plus des revenus pour les structures communautaires. Le projet a de la bouteille, 15 ans d'âge
On les appelle les peuples de la brume et on comprend vite pourquoi. Une brume légère et blanche, parfois bien glacée, toujours humide, ou un brouillard total recouvre à différentes heures de la journée les montagnes de la Sierra Norte, terre des pueblos Mancomunados.
Les pueblos Mancomunados sont huit villages, dispersés sur 2900 hectares de la Sierra Norte, descendants de groupes Zapotecos, Chinantecos et Mixes et administrés sous le système des Us et Coutumes (Usos y costumbres), une quasi-autonomie politique que peuvent pratiquer les communautés indigènes de l'Etat de Oaxaca. Sous ce système, les tâches, les décisions, les projets, les bénéfices sont communs. Ainsi est né le projet touristique, et ainsi se sont organisés ses principes de fonctionnement : cabanes, vélos, bus, tous les équipements appartiennent aux huit villages et tous les bénéfices sont réinvestis dans des besoins communautaires.
Balades à pied, à cheval ou à vélo sous les auspices de guides formés à la connaissance de leur milieu, découverte des forêts, des grottes, des prairies, des projets communautaires des pueblos (mine d'or, captage d'eau, reforestation), et dodo dans un nouveau village. Le projet des pueblos Mancomunados fonctionne depuis en professionnel avec un bureau d'information et de réservation sur Oaxaca. Ils sont bien indiqués dans le Lonely Planet et reçoivent pas mal de touristes internationaux.
Après 14 ans d'expérience, le projet est passé à la vitesse supérieure même si plusieurs villages ne reçoivent presque pas de touristes (cinq par mois pour la Neveria). A Benito Juarez et Llano Grande au moins, le projet apporte des revenus aux villages, crée des emplois et ralentit l'immigration des jeunes. Le génial principe de "circulation douce " sur leurs terres régule très naturellement le nombre de touristes et limite les impacts sur le milieu, objectif clef du projet.
Les huit villages tirent 60% de leurs revenus des ressources de la forêt. Pour ne jamais augmenter ce chiffre et parce que des actions de reforestation s'imposaient sur leurs terres, notamment pour la protection des sources d'eau, les villages ont cherché à développer en commun des alternatives économiques. L'écotourisme en est une, avec l'usine d'embouteillage d'eau minérale, les pépinières et serres de fleurs. Les habitants par le tequio ont construit les cabanes des touristes, aménagé les chemins et mènent des actions de reforestation, de protection de l'eau et de consolidation des sols.