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19 décembre 2006 2 19 /12 /décembre /2006 10:45

Deux actes significatifs ont eu lieu ce week-end à Oaxaca : le départ du centre-ville de la Police Fédérale Préventive (PFP) et la libération de 43 prisonniers de l’Assemblée Populaire des Peuples d'Oaxaca (APPO). Une accalmie dans le conflit, certes, mais toujours pas de solution en vue

Familles, amis et sympathisants de l'APPO à l'arrivée des 43 ex-prisonniers (Photo : Notimex)

Après sept mois de lutte acharnée entre le mouvement populaire de l’APPO et Ulises Ruiz, le gouverneur de la région, accusé de corruption et du non-respect des droits de l’homme, deux événements importants sont venus marquer le week-end : le départ du centre-ville d'Oaxaca des troupes de la PFP, et la libération de 43 membres de l’APPO, accusés de dégradations lors de précédentes manifestations, qui pourront désormais passer Noël dans leur famille.
Envoyés sur place en octobre par l'ex-président Vicente Fox, les 4.000 membres de la PFP ont toujours été mal perçus par la population et, plutôt que de le dissuader, ils ont au contraire exacerbé le mouvement contestataire. Cela s’est traduit par une recrudescence des affrontements violents, eux-mêmes soldés par des pertes humaines et de nombreux dégâts matériels. Le secteur du tourisme, principale ressource de la ville, a lui aussi été touché par un état de siège quasi militaire.

Deux victoires relatives pour l’APPO mais pas encore de solution…
Si le retour des ex-détenus a entraîné des effusions de joies et d’émotion, le porte-parole de l’APPO, Florentino López Martínez a déclaré que la lutte devait continuer jusqu'à la libération de tous les autres prisonniers et le départ définitif du gouverneur de la région. Une nouvelle manifestation sera organisée dans ce sens dans le centre-ville vendredi prochain.
Ulises Ruiz, lui, ne le voit pas du même œil et compte sur sa police d’état et sur les 2.000 membres de la PFP, toujours mobilisés dans une base militaire voisine, pour faire régner l’ordre et empêcher un nouveau siège de l’APPO dans le centre. Les deux positions diamétralement opposées font craindre de nouvelles flambées de violence.
A l’approche imminente des fêtes de fin d'année, l’archevêque d'Oaxaca, José Luis Chávez Botello a appelé à une trêve et à une "réconciliation sociale". Si l’heure est à l’apaisement général, les revendications des uns et des autres restent fermes et la résolution du conflit semble encore loin de son terme.

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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 16:38
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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 16:34

Mexicain
envoyé par Hypod
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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 16:27
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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 16:21

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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 16:19
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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 15:58

 

OAXACA, Mexique (AP) - Des centaines d'officiers de la police fédérale mexicaine ont quitté samedi la place central d'Oaxaca, mettant fin à sept semaines d'occupation de cette ville perturbée pendant plusieurs mois par un mouvement de contestation et des violences qui ont fait neuf morts.

Plus de 4.000 policiers avait repris la place aux manifestants en octobre, cinq mois après que ces derniers eurent mis en place leur camp pour demander la démission du gouverneur de la province. Le soulèvement a débouché sur de nombreuses violences, mais aussi repoussé les touristes et gravement affecté l'économie de cette ville historique du sud du Mexique.

Lino Celaya, secrétaire à la protection civile d'Oaxaca, a expliqué qu'environ 2.000 policiers resteraient mobilisés dans une base militaire à l'extérieur de la ville, en cas de résurgence des protestations.

De nombreux résidents déploraient la présence de la police anti-émeute, qui jetait une ombre sur la place coloniale et était considérée par certains comme une occupation militaire. Mais beaucoup de commerçants ont fait part de leur crainte de nouvelles violences en l'absence des policiers.

Le conflit à Oaxaca avait débuté en mai par une grève des enseignants, qui réclamaient une augmentation et de meilleures conditions de travail. Mais il s'est transformé en un mouvement de contestation beaucoup plus large, impliquant des groupes d'Indiens, des étudiants, agriculteurs et activistes de gauche qui accusaient le gouverneur Ulises Ruiz d'avoir truqué son élection en 2004 et de réprimer ses opposants.

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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 14:59

Le village de Bagdad à l'embouchure du Rio Grande contrôle l'accès par ce fleuve aux villes jumelles de Matamoros (Mexique) et Brownsville (Texas). Pendant l'expédition du Mexique, Matamoros était le principal point de passage de l'aide américaine aux Républicains mexicains. La ville était gardée pour les conservateurs par le colonel Meija avec 2 000 hommes et soutenu par la marine française.

Ce fut le point le plus symptomatique des pressions nordistes - suivant en cela la doctrine de Monroe sur les Français.

En 1864, Meija est menacé par le général Negrete qui est dissuadé par le débarquement de 500 soldats et 140 artilleurs à Bagdad, arrivés sur les navires Var, Magellan et Tactique.

En 1865, la situation se complique : l'armée des États-Unis chassent les forces des États confédérés d'Amérique - favorables à Meija - de Brownsville et concentre 40 000 hommes sur la frontière. Le Tisiphone arrive en renfort à Bagdad.

Le 28 septembre, c'est le général Escobedo appuyé par une artillerie - 11 canons, semble-t-il servie par les militaires nordistes, qui attache . L'amiral Cloué renforça la ville avec l'Adonis, le Magellan, le Tactique et le Tartare. Après le repli d'Escobedo, l'amiral adressa une réclamation au général nordiste Wetzel, commandant Brownsville, pour l'affaire des artilleurs états-uniens et le secours aux blessés mexicains.

L'Antonia est ajouté à la défense de Bagdad.

En novembre, nouvelle tentative d'Escobedos sur Matamoros que vient renforcer l'Antonia.

Bazaine envoya deux colonnes en renfort respectivement commandées par le colonel d'Ornano et le général Jeanningros ainsi que l'Allier pour débarquer 300 Autrichiens, 20 Mexicains et 60 chevaux à Bagdad le 20 novembre.

Tous les éléments étaient réunis pour la bataille principale qui eut lieu en janvier 1866 :

Le 4 janvier 1866 profitant du départ de l'Adonis, du Tartare et du Tisiphone, Escobedo appuyé de régiments noirs de l'US Army attaque le village. Alors que Mexicains et Autrichiens se replient sur leur navire, les 30 marins de l'Antonia assurant leur couverture.

Le général Wetzel envoie 150 hommes pour rétablir l'ordre en occupant le village tenant à leur merci les hommes rassemblés sur l'Antonia. Après une nouvelle protestation de l'amiral Cloué, le village est libéré le 25 janvier.

En juin, une double colonne - 2000 hommes - part en renfort de Monterrey. Une première moitié s'arrête pour cause de maladie, les 300 hommes de la seconde - général Olvera - sont attaqués le 15 juin à Camargo par 5 000 Mexicains et mercenaires états-uniens. Seuls 150 hommes parvirent à Matamoros où Meija, se voyant désormais dans l'impossibilité de tenir la ville fit évacuer les 400 hommes qui lui restaient sur l'Adonis vers Veracruz.

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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 14:55

Miguel José de Azanza, duc de Santa Fe (1746 à Acoiz, Navarre—20 juin 1826 à Bordeaux, France) était un politicien et diplomate espagnol, puis Vice-roi de Nouvelle-Espagne du 31 mai 1798 au 10 avril 1800.

Origines et carrière militaire

Azanza est né en Navarre. Il étudie à Sigüenza et Pamplona. Il arrive en Amérique à 17 ans, en compagnie de son oncle José Martín de Alegría, administrateur de la trésorerie royale de Veracruz. Il devient secrétaire du visitador (inspecteur), José de Gálvez, avec lui il parcourt la Nouvelle-Espagne, apprenant beaucoup sur ses problèmes. Apparemment Gálvez le fait arrêter à Sonora pour avoir divulgué ses (celles de Gálvez) intentions. Néanmoins, Gálvez continue à confier diverses missions importantes à Azanza.

En 1771 il devient cadet au régiment d'infanterie Lombard en Espagne. En 1774 il est à La Havane en tant que secrétaire du Marquis de la Torre, capitaine général de Cuba. Avec Torre, il prend part au siège de Gibraltar (1781).

Carrières diplomatique et politique

Il quitte la carrière militaire pour la diplomatie. Entre 1784 et 1786 il est secrétaire de l'ambassade d'Espagne à Saint Petersbourg puis chargé d'affaires à Berlin. En 1788 il est Corregidor (magistrat représentant du Roi dans une ville) de Salamanque, puis l'année suivante intendant de l'armée à Valencia.

En 1793 il est ministre de la guerre durant le mandat du premier Ministre Manuel de Godoy. Il est à ce poste pendant trois ans, lors de la guerre avec la France.

Vice-roi de Nouvelle-Espagne

Le 19 octobre 1796 Azanza est nommé Vice-roi de Nouvelle-Espagne. Beaucoup pensent qu'il s'agit d'une forme d'exil. On sait Godoy désireux de se débarrasser d'Azanza à cause de ses critiques. Azanza prend possession de sa charge de Vice-roi en 1798, à Orizaba. Le départ de Miguel de la Grúa Talamanca y Branciforte, vu comme un être immoral et un voleur, est salué par la population.

Grúa avait stationné des troupes considérables à Jalapa, ce qui était une lourde charge pour la trésorerie de la colonie et l'absence des hommes de leur foyer laissait les champs à l'abandon. Azanza licencie graduellement ces troupes à partir du 15 mai 1799. Il renvoie les régiments de milices provinciales chez elles. Grâce à ces économies, il fortifie le port de San Blas et l'équipe de canons.

Il prend des mesures pour protéger les côtes des britanniques. Il stationne des troupes à Buenavista, près de Veracruz et installe un escadron de 18 canonnières à Veracruz.

On rapporte des affrontements avec les Lipanes et d'autres peuples indiens de l'intérieur. A cause des difficultés du commerce maritime, le nombre de fabriques de coton diminue durant son mandat.

Afin d'accroître la population de Californie, le Vice-roi Azanza ordonne que les enfants des orphelinats y soient envoyés (17 mai 1799). L'année suivante il fait également établir un colonie de peuplement, sur les rives d'un lac salé, qui sera nommé Candelaria de Azanza (Nuevo León).

Le 8 mars 1800, un violent tremblement de terre qui dure quatre minutes est ressenti à Mexico. Il sera nommé par la suite le Temblor de San Juan de Dios. Quelques maisons s'effondrent, mais on ne rapporte aucune victime.

Azanza fait peu pour l'amélioration de la capitale ou de la colonie elle-même. A la fin de leurs contrats, la plupart des instructeurs allemands des mines rentrent dans leur pays. L'un de ceux qui resteront est Luis Lidner, qui occupe la chaire de chimie et métallurgie au Collège Royale des Mines.

La conspiration des machetes

En 1799 une conspiration est éventée. Pedro de la Portilla, un créole employé des services de la perception réunit une vingtaine de jeunes dans l'allée des Gachupines à Mexico. On y discute de la position des créoles par rapport aux Peninsulares. (Les créoles sont des européens nés dans les colonies et les Peninsulares sont des colons nés en Europe. Gachupines devint une insulte à l'égard des Peninsulares.) Ceux qui sont présents à cette réunion s'entendent pour prendre les armes et chasser les Gachupines du pays. A cette fin ils rassemblent un grand nombre de vieilles machettes. Comme il s'agit pratiquement de leurs seules armes, cette conspiration est connue sous le nom de Conspiration des machetes.

Les conspirateurs ont l'intention de libérer des prisonniers et avec eux de prendre le Vice-roi en otage, de déclarer l'indépendance du Mexique et de déclarer la guerre à l'Espagne. Ils ont rassemblé 1 000 pesos d'argent, deux pistolets et 50 machetes pour lancer un soulèvement populaire sous le patronage de Notre Dame de Guadalupe.

A la seconde réunion, Isidoro Francisco de Aguirre, un cousin de Portilla, s'alarme des ces préparatifs et prévient les autorités le 10 novembre 1799). Azanza les fait arrêter mais fait taire les motifs de leur conspiration afin de ne pas agiter la population. Tous les conspirateurs sont arrêtés, il passeront de nombreuses années en prison. Le procès est long et ne parvient pas à un verdict. Certains d'entre eux mourront en prison, Portilla, lui verra l'indépendance du Mexique.

Bien qu'il ne s'agisse pas d'une menace sérieuse sur la domination espagnole, il s'agit bien des prémices indiquant l'état d'esprit de la colonie influencé par la récente Révolution américaine et la Révolution française.

Fin de carrière et exil

Après avoir remis le gouvernement à son successeur, Félix Berenguer de Marquina, en 1800 à Villa de Guadalupe, Azanza rentre en Espagne. En 1808 il est ministre des finances du Roi Ferdinand VII et membre de la junta qui gouverne en l'absence du Roi.

Peu après, il fait allégeance à Napoléon à Bayonne. Joseph Bonaparte le fait duc de Santa Fe. Après la défaite de la France, il est contraint à l'exil. Il est condamné à mort par contumace en Espagne et ses propriétés confisquées. Il meurt à Bordeaux, dans l'indigence, en 1826.

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18 décembre 2006 1 18 /12 /décembre /2006 14:51

Mariano Arista (26 juillet 1802 à San Luis Potosí – 7 août 1855 à Lisbonne) était un militaire, général de l'armée puis président du Mexique de 1851 à 1853.

Carrière militaire

Il s'engage dans l'armée espagnole à l'âge de 15 ans comme cadet du régiment provincial de Puebla. En juin 1821, Arista rejoint les rangs de l'armée révolutionnaire de Agustín de Iturbide. Il sert ensuite sous les ordres de Antonio López de Santa Anna, lors de sa tentative de venir à bout de la rébellion du Texas en 1836.

En 1846, Arista est nommé commandant de l' Armée du Nord et chargé d'expulsé les troupes américaines qui occupent le territoire mexicain situé entre le Rio Grande et la rivière Nueces. Les engagements qui en résultent déclenchent la sanglante guerre américano-mexicaine de 1846 à 1848. Arista assume le commandement lors des batailles de Palo Alto et du Resaca de la Palma.

Les talents militaires d'Arista sont sujets à débats pour ceux qui étudièrent le conflit. Arista est un libéral - membre de la faction libérale du Mexique et donc un adversaire politique des généraux conservateurs de son état-major. Lors des deux batailles, Arista est très mal secondé par des officiers qui n'apprécient pas ses idées politiques.

Après Resaca de la Palma, le gouvernement mexicain retire le commandement à Arista. Bien qu'il soit plus tard acquitté de toute faute lors des défaites de Palo Alto et Resaca de la Palma, Arista ne sera pendant le reste de la guerre qu'un fonctionnaire ne voyant que peu de combats.

Carrière politique

De juin 1848 à janvier 1851, il est secrétaire d'état à la Marine. Le 8 janvier 1851, le congrès déclare Arista Président Constitutionnel, il succède à José Joaquín Herrera et tente de réorganiser les finances et l'armée. La résistance des conservateurs et une révolte fomentée par ces derniers forcent Arista à la démission en 1853.

Il meurt à Lisbonne au Portugal en 1855. En 1880, les restes d'Arista sont ramenés au Mexique où la faction Libérale le déclare benemérito de la patria (héros national), par décret du 26 janvier 1856.

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